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Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace
/ 24-11-2014
Vuillemin Pierre
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Les systèmes physiques sont représentés par des modèles mathématiques qui peuvent être utilisés
pour simuler, analyser ou contrôler ces systèmes. Selon la complexité du système qu’il est censé
représenter, un modèle peut être plus ou moins complexe. Une complexité trop grande peut
s’avérer problématique en pratique du fait des limitations de puissance de calcul et de mémoire
des ordinateurs. L’une des façons de contourner ce problème consiste à utiliser l’approximation de
modèles qui vise à remplacer le modèle complexe par un modèle simplifié dont le comportement
est toujours représentatif de celui du système physique.
Dans le cas des modèles dynamiques Linéaires et Invariants dans le Temps (LTI), la complexité
se traduit par une dimension importante du vecteur d’état et on parle alors de modèles
de grande dimension. L’approximation de modèle, encore appelée réduction de modèle dans ce
cas, a pour but de trouver un modèle dont le vecteur d’état est plus petit que celui du modèle
de grande dimension tel que les comportements entrée-sortie des deux modèles soient proches
selon une certaine norme. La norme H2 a été largement considérée dans la littérature pour
mesurer la qualité d’un modèle réduit. Cependant, la bande passante limitée des capteurs et des
actionneurs ainsi que le fait qu’un modèle est généralement représentatif d’un système physique
dans une certaine bande fréquentielle seulement, laissent penser qu’un modèle réduit dont le
comportement est fidèle au modèle de grande dimension dans un intervalle de fréquences donné,
peut être plus pertinent. C’est pourquoi, dans cette étude, la norme H2 limitée en fréquence,
ou norme H2, Ω, qui est simplement la restriction de la norme H2 sur un intervalle de fréquences Ω
, a été considérée. En particulier, le problème qui vise à trouver un modèle réduit minimisant
la norme H2, Ω de l’erreur d’approximation avec le modèle de grande dimension a été traité.
Deux approches ont été proposées dans cette optique. La première est une approche empirique
basée sur la modification d’une méthode sous-optimale pour l’approximation H2. En
pratique, ses performances s’avèrent intéressantes et rivalisent avec certaines méthodes connues
pour l’approximation de modèles sur intervalles de fréquences limités.
La seconde est une méthode d’optimisation basée sur la formulation pôles-résidus de la
norme H2, Ω. Cette formulation généralise naturellement celle existante pour la norme H2 et
permet également d’exprimer deux bornes supérieures sur la norme H∞ d’un modèle LTI, ce
qui est particulièrement intéressant dans le cadre de la réduction de modèle. Les conditions
d’optimalité du premier ordre pour le problème d’approximation optimale en norme H2, Ω
ont été exprimées et utilisées pour créer un algorithme de descente visant à trouver un minimum local au problème d’approximation. Couplée aux bornes sur la norme H∞ de l’erreur d’approximation,
cette méthode est utilisée pour le contrôle de modèle de grande dimension.
D’un point de vue plus pratique, l’ensemble des méthodes proposées dans cette étude ont été
appliquées, avec succès, dans un cadre industriel comme élément d’un processus global visant à
contrôler un avion civil flexible.
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Texte intégral
Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace
/ 25-11-2014
Volpert Thibault
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Les travaux de cette thèse concerne l’étude d’une méthode élément finis
d’ordre spatial élevé que l’on peut assimilé à une extension du schéma de Yee. On parle
alors de méthode différences finies d’ordre élevé. Après avoir donné, dans un premier
chapitre, un historique non exhaustif des principales méthodes utilisées pour résoudre les
équations de Maxwell dans le cadre de problèmes de CEM et montré l’ intérêt de disposer
d’un solveur de type "différences finies d’ ordre élevé", nous pésentons dans un deuxième
chapitre le principe de la méthode. Nous donnons pour cela les caractéristiques du schéma
spatial et temporel en précisant les conditions de stabilité de la méthode. En outre, dans
une étude purement numérique, nous étudions la convergence du schéma. On se focalise
ensuite sur la possibilité d’utiliser des ordres spatiaux variable par cellules dans chaque
direction de l’espace. Des comparaisons avec le schéma de Yee et un schéma de Galerkin
Discontinu particulier sont ensuite effectuées pour montrer les gains en coûts calcul et
mémoire et donc l’intérêt de notre approche par rapport aux deux autres. Dans un troisième
chapitre, nous nous intéressons à l’étude de modèles physiques indispensable au
traitement d’un problème de CEM. Pour cela, nous nous focalisons particulièrement sur
un modèle de fil mince oblique, des modèles de matériaux volumiques et minces et enfin
sur la prise en compte de sol parfaitement métallique dans une agression de type onde
plane. Chaque modèle est détaillé et validé par comparaison avec des solutions analytiques
ou résultant de la littérature, sur des exemples canoniques. Le quatrième chapitre
est dédié à une technique d’hybridation entre notre méthode et une approche Galerkin
Discontinu en vue de traiter des géométries possédant des courbures. Nous donnons
pour cela une stratégie d’hybridation basée sur l’échange de flux qui garantie au niveau
continue la conservation d’une énergie. Nous présentons ensuite quelques exemples montrant
la validité de notre approche dans une stratégie multi-domaines/multi-méthodes
que nous précisons. Enfin le dernier chapitre de cette thèse concerne l’exploitation de
notre méthode sur des cas industriels en comparaisons avec d’autres méthodes ou des
résultats expérimentaux.
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Texte intégral
Ecole Nationale Supérieure de l'Aéronautique et de l'Espace
/ 14-12-1987
Vlachoutsis Stefanos
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Une étude des éléments finis tridimensionnels dégénérés de coques avec intégration explicite suivant l'épaisseur est réalisée dans le cas général des coques multicouches pour l'analyse linéaire-statique. Le problème tridimensionnel du calcul des matrices de rigidité et de masse se réduit à un problème bidimensionnel, l'intégration suivant l'épaisseur étant effectuée explicitement. La formulation proposée permet de définir différentes approximations en comparant les puissances du rapport épaisseur-rayon de courbure principal minimal de la surface moyenne à l'unité. Le phénomène de "verrouillage" est expliqué grâce à la présente formulation. La dégradation de la précision due à la position des noeuds intermédiaires est évitée à l'aide des fonctions de forme modifiées, proposées dans le présent travail. Les coefficients correctifs de cisaillement transversal ont été étudiés et leurs expressions analytiques pour un sandwich symétrique ont été obtenues. Les applications numériques effectuées testent l'élément fini quadrilatère à 8 nœuds dans les cas de structures multicouches et sandwiches en comparant les résultats par éléments finis avec ceux donnés par différentes théories. Une comparaison a été faite entre les résultats obtenus en utilisant l'élément fini avec intégration explicite-première approximation avec ceux obtenus en utilisant l'élément avec intégration numérique. L'élément fini avec intégration explicite a été implanté dans le code ASELF (AéroSpatiale ELéments Finis).
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Texte intégral
Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace
/ 21-11-2014
Vitillo Francesco
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Dans le cadre du programme CEA R&D pour développer un prototype industriel de Réacteur à Neutrons Rapides refroidi au Sodium (RNR-Na), cette thèse vise à proposer une technologie d'échangeur de chaleur compact innovant. Afin d'augmenter la compacité globale du composant la conception est réalisée d’un canal: il peut être considéré comme le résultat de la superposition de deux canaux ondulés en opposition de phase. Afin de fournir un modèle numérique physiquement cohérent, un nouveau modèle de turbulence à viscosité turbulente non linéaire nommé modèle ASST a été développé et implémenté dans le solveur ANSYS FLUENT ®. Il a été démontré que le modèle ASST peut fournir une alternative intéressante aux modèles plus complexes. Pour valider le modèle ASST, deux montages expérimentaux ont été réalisés, dont un utilisant la Vélocimétrie Laser à franges et l'autre la Vélocimétrie Laser par images de particules. Pour la validation thermique, l'installation "VHEGAS" a été construite. Une fois le modèle ASST validé, les performances pour différentes géométries peuvent être étudiées. Enfin, il a été montré que la géométrie innovante est la plus compacte parmi les autres technologies d'échangeurs de chaleur compacts type PCHE.
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Texte intégral
Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace
/ 23-03-2012
Virmontois Cédric
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L'’imagerie spatiale est aujourd'hui un outil indispensable au développement durable, à la recherche et aux innovations scientifiques ainsi qu’à la sécurité et la défense. Fort de ses excellentes performances électro-optiques, de son fort taux d’intégration et de la faible puissance nécessaire à son fonctionnement, le capteur d’images CMOS apparait comme un candidat sérieux pour ce type d’application. Cependant, cette technologie d’imageur doit être capable de résister à l’environnement radiatif spatial hostile pouvant dégrader les performances des composants électroniques. Un nombre important d’études précédentes sont consacrées à l’impact des effets ionisants sur les imageurs CMOS, montrant leur robustesse et des voies de durcissement face à de telles radiations. Les conclusions de ces travaux soulignent l’importance d’étudier les effets non-ionisants, devenant prépondérant dans les imageurs utilisant les dernières évolutions de la technologie CMOS. Par conséquent, l’objectif de ces travaux de thèse est d’étudier l’impact des effets non-ionisants sur les imageurs CMOS. Ces effets, regroupés sous le nom de déplacements atomiques, sont étudiés sur un nombre important de capteurs d’images CMOS et de structures de test. Ces dispositifs sont conçus avec des procédés de fabrication CMOS différents et en utilisant des variations de règle de dessin afin d’investiguer des tendances de dégradation commune à la technologie d’imager CMOS. Dans ces travaux, une équivalence entre les irradiations aux protons et aux neutrons est mise en évidence grâce à des caractéristiques courant-tension et des mesures de spectroscopie transitoire de niveau profond. Ces résultats soulignent la pertinence des irradiations aux neutrons pour étudier les effets non-ionisants. L’augmentation et la déformation de l’histogramme de courant d’obscurité ainsi que le signal télégraphique aléatoire associé, qui devient le facteur limitant des futures applications d’imagerie spatiale, sont évalué et modélisés. Des paramètres génériques d’évaluation des effets des déplacements atomiques sont mis en évidence, permettant de prévoir le comportement des capteurs d’images CMOS en environnement radiatif spatial. Enfin, des méthodes d’atténuation et des voies de durcissement des imageurs CMOS limitant l’impact des déplacements atomiques sont proposées.
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Texte intégral
Ecole Nationale Supérieure de l'Aéronautique et de l'Espace
/ 22-10-1999
Vintenat Lionel
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Une qualité souvent prêtée aux réseaux de neurones artificiels est d'être tolérants aux fautes. Dans les ouvrages de présentation générale, cette propriété est presque toujours introduite comme étant "naturelle", c'est-à-dire obtenue sans précaution particulière pendant l'apprentissage. D'autre part, l'environnement spatial est connu pour être agressif pour le matériel embarqué, ce qui se manifeste par divers dysfonctionnements. En particulier, on constate, pour les circuits numériques, le phénomène d'upset, c'est-à-dire l'inversion intempestive d'une bascule mémoire. Partant de ces deux constatations, on peut se demander si des circuits neuronaux ne constitueraient pas une solution intéressante et robuste pour implanter certaines fonctions de bord des engins spatiaux. Dans un premier temps, les différents aspects du problème sont exposés en détail : les réseaux de neurones artificiels et leur tolérance aux fautes, les circuits neuronaux, l'environnement spatial et les défaillances résultantes. En conclusion de cette présentation, une technique particulière pour réaliser des circuits neuronaux est choisie pour sa simplicité, et surtout pour le peu de bascules mémoires qu'elle met en jeu : les trains aléatoires d'impulsions. Une méthode originale de reconnaissance d'étoiles dans un champ de vue est ensuite proposée pour la fonction de bord "calcul d'attitude". Cette méthode s'appuie sur un réseau à compétition de type winner-takes-all, et sur une carte auto-organisatrice de Kohonen. Une implémentation matérielle de ces deux modèles neuronaux est alors proposée à l'aide de trains aléatoires d'impulsions. Cette réalisation permet, d'une part de mettre en lumière les difficultés liées à cette technique particulière d'implantation, et d'autre part de faire une première évaluation quant à sa tolérance aux upsets en pratique.
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Texte intégral
Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace
/ 12-12-2018
Villemant Marc
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Les propulseurs plasma à courant de Hall sont aujourd’hui une technologie mature et couramment utilisée dans l’industrie spatiale pour la mise à poste et le contrôle d’orbite de satellites. Malgré cela, la compréhension de la physique régissant le fonctionnement de ces propulseurs et encore lacunaire. Des phénomènes tels que le transport anormal des électrons dans le canal du propulseur ou la dépendance des performances du propulseur au matériau de paroi ne sont pas compris. Par conséquent le développement et la qualification de nouveaux propulseurs passent par de longues études empiriques sans garantie de succès. La compréhension de la physique des plasmas de propulseurs est donc une problématique clé pour permettre le développement et l’amélioration de cette technologie.Cette thèse consiste en la caractérisation par la modélisation et par des mesures expérimentales de l’interaction entre le plasma d’un propulseur à courant de Hall et les parois dudit propulseur. Cette thèse s’est concentrée sur le phénomène d’émission électronique induite par impact d’électrons (i.e. l’émission d’électrons par les parois du propulseur lorsque celle-ci est soumise à un flux incident d’électrons).La thèse s’est déroulée en trois étapes. Dans un premier temps un modèle d’émission électronique adapté au besoin des modélisations particulaires de plasma de propulseur a été développé et validé par comparaison à des données expérimentales réalisées à l’ONERA. Dans un second temps, ce modèle d’émission électronique a été introduit dans une simulation particulaire de plasma de propulseur développé au Laplace et modifié pour les besoins de cette thèse. Enfin une étude paramétrique a été réalisées afin d’évaluer l’influence de l’émission électronique sur le comportement global du plasma de propulseur.La première partie de cette thèse a permis de réaliser la caractérisation de l’émission électronique pour des matériaux représentatifs du canal des propulseurs à courant de Hall (silice et nitrure de bore). Par ailleurs, un travail de mesure et de calibration a été réalisé afin de caractériser le rendement énergétique de l’interaction entre une population d’électrons et une paroi. Ces nouvelles mesures et ce nouveau protocole de mesure ont donné lieu à la publication de deux articles. La seconde partie de cette thèse a permis de réaliser un modèle détaillé d’émission électronique adapté aux contraintes des modélisations particulaire (temps de calcul réduit, dépendance à différents paramètres physiques, etc.). Cette thèse a permis de montrer un impact non-négligeable de l’émission électronique sur le bilan énergétique du propulseur et sur les fonctions de distributions des ions et des électrons dans le plasma ¬du propulseur.
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Texte intégral
Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace
/ 23-10-2014
Vidal Barba Oriol
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Cette thèse à pour but d'étudier des alternatives à l’augmentation des faisceaux dans des systèmes satellite THD de
prochaine génération, évaluant des stratégies pour augmenter de manière significative la capacité totale du système. Dans
ce contexte, les schémas de réutilisation de fréquence (FR) agressives viennent naturellement dans l'esprit afin d'augmenter
les ressources globales en bande passante et, par conséquent, augmenter la capacité globale du système. Cependant, ces
schémas mènent à une augmentation des interférences co-canal, rendant l'utilisation du spectre supplémentaire pas
tellement efficace. Visant à trouver une solution à ce défi, des techniques basées sur des interférences ont été évaluées dans un contexte satellitaire réaliste, correspondant au précodage linéaire et la réutilisation fréquentielle fractionnelle (FFR). Le précodage linéaire est une technique MIMO qui permet l’application des schémas de réutilisation plus agressifs en traitant
conjointement les signaux transmis afin de pré-compenser les interférences co-canal. Cette technique a été étudiée dans le
cadre des systèmes THD et sa performance dérivé en considérant une caractérisation réaliste antenne, prouvant
l'importante amélioration dans la capacité totale du système. Des stratégies de scheduling ont été également étudiées et
des algorithmes évalués, prouvant que d'autres améliorations peuvent être réalisées considérant mécanismes intelligents
de scheduling. Une autre voie d'augmenter les ressources spectrales par faisceau a été étudiée considérant des schémas
FFR, utilisés en grande partie dans les réseaux mobiles terrestres (c.-à-d. WiMax, LTE…).
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Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace
/ 03-06-2016
Vicentini Maxime
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De nos jours, la combustion d'hydrocarbures est largement répandue dans de nombreuses applications, notamment la propulsion aéronautique. Toutefois, les turbomachines produisent des niveaux d'émissions d'espèces polluantes qui ne sont plus acceptés. C'est pourquoi, la compréhension des phénomènes physiques mis en jeu dans les chambres de combustion est essentielle pour aider au développement de moteurs plus propres. Dans de tels foyers, le carburant est injecté sous la forme d'un brouillard de gouttes, ce qui génère de fortes interactions avec l'écoulement d'air turbulent et la flamme. L'objectif de cette thèse est de contribuer au développement de modèles en combustion diphasique en vue d'améliorer la capacité prédictive des outils de simulation numérique. Pour cela, un nouveau moyen d'essais dédié à l'étude des flammes diphasiques turbulentes a été conçu et une base de données expérimentales a été constituée (conditions inertes et réactives). Des visualisations simultanées de la diffusion de Mie des gouttes et du taux de dégagement de chaleur ont permis de mettre en évidence une structure de flamme complexe ainsi que l'existence de différents régimes de combustion. Un autre point important de ce travail a été d'analyser statistiquement la distribution spatiale de gouttes en conditions réactives à l'aide d'une méthode de mesure originale. Cette analyse a permis de quantifier les distances inter-gouttes (plus proches voisines) en différents points de l'écoulement et d'estimer les erreurs liées au traitement des données via une approche numérique. En outre, il apparaît que la distribution spatiale des gouttes s'apparente à une loi aléatoire uniforme alors que les modèles de combustion de gouttes s'appuient souvent sur une loi régulière.
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Ecole Nationale Supérieure de l'Aéronautique et de l'Espace
/ 15-12-2005
Vialettes Pierre
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La modélisation et la fabrication des ballons pressurisés stratosphériques longue durée à usage scientifique sont un défi pour le CNES. Cette modélisation nécessite une bonne connaissance des lois de comportement des matériaux constitutifs des enveloppes. L’étude se fait sur un polymère constitué de 3 couches complexées : PET 15 µm, PA 20 µm, PET 15 µm. Une campagne d’essais uniaxiaux nous permet d’identifier les paramètres des modèles de comportement du matériau. Un ensemble d’essais sur des sous ensembles de ballons soumis à des sollicitations complexes a été réalisé afin de déterminer, à l’aide d’un système de mesure par stéréocorrélation, les champs de déplacement et de déformation de ces structures. Ces essais sont alors simulés sur un code EF et comparés aux résultats expérimentaux afin de valider les lois de comportement pour des géométries et des sollicitations complexes.
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