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Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace
/ 23-11-2017
Durnez Clémentine
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Le domaine de l’imagerie a toujours fait l’objet de curiosité, que ce soit
pour enregistrer une scène, ou voir au-delà des limites de l’oeil humain grâce aux détecteurs
infrarouges. Ces deux types d’imagerie sont réalisés avec différents matériaux. Dans le domaine
du visible, c’est le silicium qui domine, car son absorbance spectrale correspond bien au spectre
visible et que ce matériau a été très étudié dans les dernières décennies. Dans le domaine
de l’infrarouge, plus particulièrement le MWIR (Middle Wave InfraRed), l’InSb est un bon
candidat car il s’agit d’un matériau très stable. Cependant, certaines contraintes telles qu’une
bande interdite étroite peuvent être limitantes et cela nécessite une température d’opération
cryogénique. Dans ces travaux, un signal parasite commun à ces deux matériaux est étudié : il
s’agit du signal des télégraphistes (RTS : Random telegraph Signal) du courant d’obscurité. Ce
phénomène provient d’un courant de fuite de l’élément photosensible du pixel (photodiode).
En effet, même dans le noir, certains pixels des imageurs vont avoir une réponse temporelle
qui va varier de façon discrète et aléatoire. Cela peut causer des problèmes de calibration, ou
de la mauvaise détection d’étoiles par exemple. Dans cette étude, deux axes principaux sont
étudiés : la caractérisation du signal pour pouvoir mieux l’appréhender, et la localisation des
sources à l’origine du RTS dans la photodiode afin d’essayer de l’atténuer.
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